Peter erre (pour Juliet)

Peter était, encore, quelque part dans la bibliothèque. Il avait les pensées torturées par son nouveau colocataire de chambre, son éloignemet de Delora, la triste nouelle que lui avait apprit sa mère...

Pour la première fois depuis son arrivée, l'Amérique lui manquait. Là-bas, on avait besoin de lui. Il revoyait le regard triste et résigné de sa mère lorsqu'il l'avait vu pour la dernière fois. Son ton dur et froid en comparaison le choquait. Il le blessait encore plus.

Frustré, il ouvrit un livre, préocupé. Il ne savait pas ce qui l'attendait en Amérique, mais il savait que ce lieu lui manquait. En même temps...

A peine eut-il ouvert le livre, qu'il avait chosit au hasard, qu'il sentit une présence tout près de lui.

"Pourvu que ce ne soit pas encore un nouveau vampire, où je ne terminerais pas ma fin de journée".

-Y'a-t-il quelqun ? demanda-t-il avec dans sa voix son manque de confiance en lui-même habituel.

Juliet pénétra dans la bibliothèque, qu'elle revait de visiter dès son entrée à l'Ecole. Elle observa avec émerveillement les rayonnages qui débordaient de livres en tout genre.
Dans son observation de la bibliothèque, elle aperçut un jeune garçon qui avait l'air mélancolique.
"Il doit être humain, enfin je crois" pensa-t-elle
Elle s'approcha de lui pour essayer de lancer une conversation, quand il demanda si il y avait quelqu'un, d'une voix mal assurée.
"En effet, désolée de m'approcher par derrière, c'est pas malin. Je m'appelle Juliet Konayuki, et toi ?"

Peter fut agréablement surprit de constater que la personne dont il avait entendu la présence n'était ni un vampire qui avait du mal à se contrôler ni rien d'autre de la sorte.

-Oh excuse-moi, j'avais peur que ce soit le nouveau vampire, celui qui a du mal à se contrôler, ça me met mal à l'aise... Je suis assez timide, vois-tu. A propos de nouveau je ne te conaissais pas non plus, je ne t'avais jamais vu avant, tu es en quelle classe ?

Peter attendit la réponse de Juliet, elle semblait elle aussi du genre timide, à l'entente de son ton plutôt intimidé, et cela rendait Peter plus sûr de lui, et plien d'espoir également parce qu'il en avait assez d'être le seul de l'écle à ne pas avoir confiance en lui !

Juliet soupira de soulagement, en effet, il s'agissait bien d'un humain. Il semblait tout timide, comme elle. Ce détail la soulagea un peu, les autres semblaient tous à l'aise.
"Oui, je l'ai rencontré aussi, il m'a vraiment fait peur, il a regard qui fait froid dans le dos. Je comprends que ça puisse te mettre mal à l'aise, je suis pareille ! Je viens juste d'arriver ici en fait. Mais tu ne m'as toujours pas dit ton nom."
Juliet attendit la réponse du jeune homme avec un petit sourire timide.

Peter, rassuré que Juliet ne se moque pas de lui, et surtout de ne pas être le seul dans ce cas, sourit, mais rougit bien vite en s'apercevant de son oublie :

-Oh, pardon, je m'appelle Peter Myazaki. Je suis en deuxième année. Et comme tu peux le supposer comme tu viens de me rencontrer dans une bibliothèque, j'adore lire ! aAu fait, d'après ton nom de famille, tu as des origines japonaises, non ?

Juliet ricana légèrement en apercevant les joues rougies de Peter.

"En effet ça se voit que tu aimes lire, c'est également mon cas. Mais non, je n'ai aucune origine japonaise, je viens de France en fait. C'est le prêtre de mon village, qui lui est japonais, qui a décidé de me donner ce nom. J'avoue qu'on pourrait penser que j'ai des origines."

On auraitput croire que le soleil venait instentanément de brûler les joues de Peter jusqu'à obtenir de prodigieux coups de soleils lorsqu'il vit Julit ricaner, bien qu'assez discrètement. Cela lui rappelait de meuvais souvenirs du temps où il était encore à l'école sur Terre. Soulagé out de même que Juliet ne ricane pas plus, il tenta d'ignorer ses joues qu'il sentait chauffer :

"Maudite timidité..."

-Il devait bien t'aimer le prêtre,supposa-t-il. C'est gntil de sa part.

Juliet sourit à la remarque de Peter, c'était vrai que ce prêtre l'aimait bien, mais s'en souvenir lui serra le coeur, les souvenirs de ses années d'avant l'ecole lui revenaient à la figure.
"Oui, en effet. Mais dis-moi, tu viens d'où ?" dit-elle pour changer de sujet, elle ne voulait pas se mettre à pleurer d'un coup