Carole Lenoir prends pied à l'école

Carole Lenoir était dans le petit appartement qu'elle avait loué pendant un an, après avoir quitté l'orphelinat. A la suite de son arrestation, elle avait écopé d'une peine de travaux d'intérêt général dans une école. Elle ne savait pas vraiment où cette école se trouvait et Carole était vraiment sceptique sur la manière d'y parvenir. Quoiqu'il en soit, elle avait résilié le contrat de location avec le propriétaire et préparé ses bagages. Elle enfila son manteau de cuir rouge par dessus son débardeur noir et passa son bandana noir dans ses cheveux roux. Elle jeta sur ses épaules un sac à dos qui contenait ses effets personnels; elle mit un sac de voyage, qui contenait la totalité de ses vêtements, en bandoulière; elle saisit, avec sa main droite, sa caisse à outils rouge, dont la peinture était déjà bien écaillée et ses panneaux de métal légèrement enfoncés; et enfin, elle posa sur son épaule un long carton qu'elle retenait avec sa main libre. Elle s'empara d'un bouton rond qu'on lui avait remis à l'aide des quelques doigts libres de sa main droite et murmura:

"- Bordel...C'est quoi déjà leur formule à la con! Ah ça y est! Transportes moi à l'Arche de l'Ecole David Demoya! M'étonnerait que ça mar..."

Carole Lenoir n'avait pas eu le temps de finir sa phrase qu'elle se retrouva propulsée dans le continent Médien. Elle émergea dans la cave de l'école où elle travaillerait désormais. La pièce semblait très ancienne et quand elle se retourna pour observer la fameuse Arche, elle fut pris d'un violent mal de tête. Elle se crispa en grognant:

"- Ahhh...! Putain de voyage!"

Au bout de quelques secondes, les douleurs se calmèrent légèrement mais persistaient encore. C'est à ce moment là que Carole aperçut une silhouette qui lui faisait face. C'était un homme très âgé, mais quelque chose la perturbait: il mesurait pas loin de deux mètres et ses oreilles étaient aussi pointu qu'une mèche de perceuse. Ce n'était pas du tout habituel. La jeune femme s'approcha tout de même et demanda:

"- Salut. Vous avez pas un cachet d'aspirine, par hasard?"

Le vieux Moine toussota. Il avait failli lâcher sa plume pleine d'encre sur une belle page qu'il avait mis des heures à caligraphier, choqué par l'arrivée en fanfare de la nouvelle venue. Il toussota encore et releva la tête de son antique manuscrit.

Je suis le Moine Ignacius. Et non je n'ai pas d'aspi... apisri... je n'ai pas de ce que vous me demander. Puis-je connaître votre identité afin de la noter ici ?

L'Elfe caressa sa barbiche en attendant une réponse.

Carole Lenoir remarqua que l'individu était troublé, sans en connaître la raison. Elle n'y fit pas attention et poursuivit la conversation:

"- Enchantée Ignacius. Je suis Carole Lenoir, la nouvelle bibliothécaire et technicienne de maintenance."
Elle secoua légèrement sa caisse à outils.
"Quant à l' "ASPIRINE", vous pouvez laissé tomber."

En effet, les effets du voyage s'étaient finalement estompés. La jeune rousse portait toujours ses affaires, mais ne semblait pas y faire attention, comme si ces bagages ne pesaient rien.

Le Moine toussota, de plus en plus énervé. D'habitude, les elfes ont une infinie patience et en raison de son vieil âge et d'une vie presque complètement dédiée à la méditation, il aurait du lui même se montrer compréhensif. Mais il n'aimait pas qu'on lui manque de respect de la sorte.

C'est Moine Ignacius. dit-il d'une voix glaciale en insistant sur le "moine"

Il toussota de plus belle.

Avez-vous des questions, mademoiselle Lenoir ? demanda t-il, plus poliment

Un sourire narquois s'afficha sur le visage de la jeune femme. Cela l'amusait de voir ce petit vieux, plutôt ce grand vieux, car il faisait au moins une tête de plus qu'elle, s'énervait. Elle reprit avec une légère ironie:

"- Enchantée, MOINE Ignacius..."

Finalement, le vieux moine questionna la nouvelle arrivante de manière polie et Carole retrouva une attitude plus sérieuse. Il ne fallait pas qu'elle se fasse virer d'ici alors qu'elle venait seulement de débarquer. Surtout que ce qui l'attends dans ce cas-là, c'était la prison.

"- En effet. Où dois-je allez, maintenant?"

Le Moine hocha la tête de contentement en entendant l'humaine l'appeler comme il le désirait.

Vous pouvez aller dans la pièce d'à côté, puisque vous n'avez pas de question. Vous y trouverez un confortable banc pour vous y asseoir et attendre que quelqu'un vienne vous chercher et vous guide jusqu'à l'Intendance, votre lieu de travail si j'ai bien compris.

Le vieil Elfe se replongea un instant dans ses écrits, essayant de cacher son sourire du à la plaisanterie qu'il venait de faire sur le fameux banc de bois si dur où il était si désagréable de s'asseoir, avant de s'exclamer :

J'allais oublier, il faut que vous alliez voir la Directrice dans son bureau, dès votre visite de l'Intendance terminée. Mais ne vous inquiétez pas, surtout, tous ceux qui sont entrés dans le bureau de notre chère Clémentine en sont ressortis... entier.

Cela dit, il désigna la porte à Carole Lenoir, l'invitant à se rendre dans la pièce adjacente.

"- Très bien, merci."

La rousse poursuivit son chemin dans une salle adjacente en murmurant quelques mesquineries à propos de ce veux débris. En arrivant dans la salle, ses yeux verts émeraudes s'ouvrirent en grand. Elle déposa sa caisse à outils et son long carton délicatement près d'un des bancs en bois en sifflant. Elle jeta le reste de ses affaires sur ce même banc et admira la décoration. Une armure, des candélabres et des haches ornaient le mur; mais ce qui attira son attention, c'était le tableau qui représentait sans doute le manoir dans lequel elle vivait à présent.

"- Ehh ben! Si le manoir est toujours dans cet état maintenant, je vais avoir du boulot!"

Elle observa rapidement le moine qui lui tournait le dos, puis elle alla s'asseoir à côté de ses bagages. Elle croisa ses jambes étendues et glissa ses mains derrière la tête. Puis elle patienta ainsi, le regard dans le vide.

jahssen entra dans la pièce avec demarche de quelqu'un qui a tous le temp devant lui, et c'est seulement une fois a l'interieur qu'il se dit qu'il aurait dû se depécher un peu , '' pas grave , sa lui feras les pied d'attendre un peu au nouveau'',
puis il vit c'elle qu'il etait venus chercher ''.... la nouvelle'' se repris t'il

salut mam'selle , je suis le prof de botanique et pour l'instant votre guide , mon nom est jahssen , vous n'avez pas la gueule d'une élève , je supose donc que vous ete prof ou un autre post?, comment vous appeler vous ?puis il lui tendit une main de bienvenu

Quentino arriva à la suite de Jahssen. En voyant qu'il y avait un nouveau et que Jahssen était en train de l'acceuillr, il se dit: Ah non ! Pas cette fois ! Je n'ai encore jamais acceuilli personne alors que je suis ici depuis plus longtemps que lui.. Il se plaça devant Carole.
Bonjour Mademoiselle. Je me présente: je suis Quentino Kaïro, un des élèves de cette école. Je suis un dro... hem... un elfe. Et vous ? Si vous le souhaiter, je vais vous menez à l'intendance.
Il adressa un regard étrange à Jahssen. Il signifiait en lagage drow: celle la elle est pour moi !

(H.J : Carole si tu veux tu peux poster la suite dans les escaliers !)

Carole Lenoir ruminait son temps depuis un bon moment. Elle était à deux doigts de prendre ses affaires et de partir chercher elle-même l'Intendance. Alors qu'elle se levait et qu'elle mettait son sac sur le dos, la jeune rousse entendit les escaliers grincer. Quelqu'un venait.

"- Eh ben! Pas trop tôt..." marmonna-t-elle.

Elle passa la bandoulière de son sac de voyage et se retourna vers la cage de l'escalier. Un homme apparût, il était plus grand qu'elle et avait la peau noire. Il ne semblait pas vraiment pressé, mais quand il se rapprocha un peu plus, Lenoir put constater qu'il devait avoir la trentaine. Son visage était recouvert d'une barbe et des dreads dépassaient de son bonnet au couleur de la Jamaïque. La jeune femme eut un frisson dans le dos, elle connaissait la réputation de ce pays en matière de "plantes exotiques" et cela lui rappela l'année qu'elle avait passé chez elle avant de venir ici. Elle n'en gardait pas un bon souvenir. L'homme qui l'accueillit se dénommait Jahssen et se présentait comme étant le professeur de botanique.

"- Pourquoi ça ne m'étonne pas..." pensa-t-elle.

Alors qu'elle s'apprêtait à serrer la main que Jahssen lui tendait, un gamin se glissa entre le Jamaïquain et elle. Elle n'arrivait pas bien à définir son âge mais elle se doutait qu'il s'agissait d'un enfant. Ce dernier s'était déguisé, il avait recouvert son visage d'un maquillage blanc, ses cheveux étaient teins en blanc également et il se baladait avec une épée et un arc. Il prétendait être un elfe. Carole le regarda et sourit: ça devait être carnaval.

Elle ébouriffa les cheveux du gamin et l'écarta gentiment.

"- Excuse-moi petit, dit-elle poliment, laisse-moi parler à ton prof."

Elle vérifia que sa main n'était pas couverte de teinture, bizarrement non, et saisit la main du professeur de botanique.

"- Enchantée, je suis Carole Lenoir, la nouvelle bibliothécaire et technicienne de maintenance."

jahssen fut tout d'abore etonné de voir debouler cette petite boule nerf , puis cela le fit sourir
"je l'aime bien celui la!"
puis il repondit a son interlocutrice:
je moi aussi enchanté de vous rencontrer et je vous aurai guidé avec plaisr mais il samblerai que notre petit elfe sur exiter ici present tienne a le faire , donc si vous n'y voyer pas d'inconveniant je vais vous laisser avec luipuis il s'adressa a Quentino:
je la laisse petit mec.
puis il lui murùra :
fais gaffe mon gars , avec un un regard comme sa jeter a la mauvaise personne , comme ta prof d'histoire par exemple, et tu vas finir dans une sale qui sent le moisi a copier des lignes, conseille d'ami
il lui adressa un petite sourir du coin des lèvres

H.J:
[quote="Carole Lenoir"]Ce dernier s'était déguisé, il avait recouvert son visage d'un maquillage violet, ses cheveux étaient teins en blanc et il se baladait avec une épée et un arc. Il prétendait être un elfe. Carole le regarda et sourit: ça devait être carnaval.
quote]
1. je ne suis pas dégusier !
2. Je n'ai pas de maquillage !
3. je n'ai pas les cheveux teint.
Donc tu modifira ton message !!!


L'elfe glissa à Jahssen:
O vous savez, je réfléchi, je n'aurai jamais fait cela à Mme Hadès !
Il présenta les escaliers et dit à Carole:
C'est par ici !
Il fit une courbette comique et ajouta:
Après vous Gente Dame.
Il faisait cela pour tester le caractère de la nouvelle arrivante.

H.J: poste aux escaliers