Enya corrige ses copies....

Enya entra dans la bibliothéque avec la ferme intention de corriger ses copies. Il pris la première, celle de Quentino et la lu. Puis la nota.

KAÏRO
Quentino
1ère Année

Devoir d'Arts.

Note: 14 / 20.
Observations: Tu as des exellentes idées qui me plaisent énormemment, mais il est dommage que tu ne les ai pas développer davantage. J'aurais aimé en lire un peu plus. De plus, je comprends très bien ce que tu ressens, ce que tu as exprimé dans le sujet 1. Tu as trouvé les mots justes et bons, pour décrire le sensation de rejet, de mépris des gens envers les autres, différents d'eux-mêmes.
Pour le sujet 2, tu n'as pas réellement décrit un lieu, mais ce que t'inspire le poème est une "bonne réponse". La liberté. Celle que l'on recherche tous. J'aurais aimé aussi que tu développe plus ton idée. Mais sinon bonne réflexion en général.

Sujet 1 : Que vous inspire ce texte ?
N'importe où fut la vérité, elle s'était perdue. A jamais. Cette vérité, pourtant si belle, fut le malheur d'un soir, d'une aube, d'une vie. Qu'importe d'où elle était venue et où elle était partie, seulement la peine et le regret restèrent. Gravés dans le coeur du monde. Encrés dans la chair de l'univers.

Il m’inspire une plus grande envie encore de devenir elfe, car il représente le monde dans lequel j’ai grandi :
Le mensonge règne, la douleur et la violence aussi. La vérité à disparut. Le regret d’être née dans ce mon de atroce reste en moi, et celui de m’avoir rencontré en tous ceux que j’ai connut. Car là-bas, on me déteste à cause de mon père. Ma peine et ma douleur d’avoir été rejeter par les miens reste et restera à jamais graver en moi, me rongeant de la l’intérieur et mettant les nerfs à dure épreuve…

Sujet 2 : Décrivez un lieu que vous inspire ce poème.
Plume au vent
Belle aurore
Envol
Il m’inspire le ciel, un matin d’été. Les oiseaux vols et chantes. L’un se pose, un autre décolle. Un autre encore se fait manger par un bel oiseau de proie. Ces doux animaux sont libres d’aller où ils veulent. Ils n’ont pas les limites de la terre pour les arrêter.

Peter entra dans la bibliothèque tout essouflé. Il avait parcourut un bon nombre des pièces de l'école suceptibles de s'y trouver Enya. Lorsqu'il la trouva enfin, il poussa un soupir de soulagement et se rua vers elle :

-Pardon Enya, puis-je te parler s'il te plaît ? C'est à propose de...de mon devoir.

Peter rougit et attendit la réaction d'Enya.

Swendra entra précipitement dans la bibliothèque, adressa un signe de tête à la bibliothécaire Carole, occupée avec Louisia la petite humaine. Et elle arriva près d'Enya et de Peter.
Bonjour Enya je voudrais savoir si... oh, excuse moi Peter, tu avais une question. J'attendrais.

Peter salua Swendra d'un petit sourire lorsqu'il la vit arriver, et reporta son attention sur Enya :

-Voilà, je n'en aurais pas pour longtemps, mais je crains d'avoir complètement...échoué à mon devoir.

Peter baissa la tête. Il avait un peu honte de l'avouer, surtout devant une camarade de classe, mais il était envieu de connaître l'avis d'Enya.

Peter était dépité. Il était blessé dans son orgueil de n'avoir pas réussi à répondre correctement à un sujet qui lui tenait à coeur. Reconaissant à Enya pour cette propsition, il s'empressa de répondre :

-Oui, je veux bien recommencer à écrire sur le sujet. Merci beaucoup, Enya. Je...je te promets de faire bien mieux.

Lenoir arriva dans sa bibliothèque avec le matériel informatique qu'elle avait récupéré à l'Intendance. Elle déposa lourdement son carton sur le bureau qui lui servait de lieu de travail. S'étirant le dos, elle entendit une conversation qui émanait du labyrinthe d'étagères qui constituait la bibliothèque. Laissant de côté ce qu'elle souhaitait faire, elle chercha d'où provenait les voix en se guidant à l'oreille. Elle arriva dans un des espaces où les visiteurs pouvaient lire et travaillaient tranquillement. Elle reconnut le gamin qui était venu le voir pendant la fête et l'élève avec qui elle avait fait du surf, celle avec des trucs bizarres sur le dos de la main. Par contre, l'adulte qui était avec eux ne lui disait rien du tout, et voyant le tas de papier déposé devant elle, elle en conclut qu'elle devait corriger des copies. Elle déclara:

"- Si vous avez besoin de moi, je suis à mon bureau."

Ne les dérangeant pas plus que cela, Carole retourna s'occuper de son ordinateur. Elle déballa tout le matériel et entama son installation. Elle plaça l'unité centrale par terre et la relia à une prise électrique. Elle mit l'écran sur le bureau, ainsi que le clavier et la souris, et les brancha à la tour. Elle amena également l'électricité à l'écran. Enfin, elle connecta la borne Wi-Fi à la tour et au réseau. Elle laissa le carton derrière son bureau, préférant s'en débarrasser en partant d'ici. Elle actionna le bouton de démarrage et la page d'accueil apparut à l'écran. Ensuite, elle lança la connexion à Internet et elle se fit. Tout fonctionner parfaitement, elle n'aura pas à se battre contre l'informatique! Elle put enfin préparer sa liste de matériel en prévision de la rénovation des escaliers.