Peter visite guidé par Quentino

Peter suivait Quentino, docilement.

Il avait accepté que Quentino lui fasse visité l'école. Mais cela lui faisait du mal qu'on puisse le penser trop bête pour faire autre chose que devenir le caniche de Quentino.

Réajustant (encore) ses lunettes, il se rangea à côté e Quentino et lui déclara, plus froidement qu'auparavant :

-Tu sais, la timidité n'indique pas forcément la bêtise. Je peux être timide et avoir mon prpore caractère. Faire mes propres choix.

Mais, étonnement, Peter commençait d'un certain côté à apprécier Quentino. Quelque chose dans son caractère lui plaîsait. C'était...son caracère, justement. Par certains acepcts, la témérité de son camarade l'amusait, et il commençait à l'estimer. Mais il ne voulait pas que Quentino se fasse d'illusions : il était son voisin, pas son chien.

Peter suivait du regard les différentes directions que lui indiquaient le doigt de Quentino.

A la mention du gymanse, il sentit le stress monter en lui :

- Et vous avez commencé le cours de sport ? demanda-t-il, les yeux rivés sur le lieux maudit.

Un chat passa devant eux, Peter tressauta, effrayé. Il fit comme si rien n'était tandis que l'animal partait, effrayé par la réaction de Peter.

Peter était embarassé. Il ne comprenait pas la réaction de Quentino. Il ne s'attendait pas à ce qu'il prenne autant à coeur cette question :

-Je n'ai jamais dit que j'avalais l'intention de les suivre ! se défendit-il. Je demandais c'est tout. Le sport, c'est le genre de matières où l'on peut...se faire des...amis.

Tentant de se sortir de ce mauvais pas dans lequel ils 'était lui-même fourré, il ajouta :
-On continue ?

-Oui, bonne idée ! s'extasia Peter, plus ravi qu'autre chose que Quentino n'insiste pas sur le sujet des cours de sport.

Et, comme à l'arrivée, il suivit lle guide.